bonjour et merci pour ton joli blog très charment, nous te souhaitons une bonne et heureuse journée ensoleillé
Par robert87300, le 28.02.2012
bonjour . . .
c'est avec plaisir
que je passe te souhaiter
une agréable soirée
gros bisous, ton amie
géra
Par robert87300, le 23.02.2012
Date de création : 19.02.2012
Dernière mise à jour :
15.03.2012
9 articles
Je ne suis pas allé travailler. J'ignore si je vais y aller tantôt. Tant que personne ne pointe son flingue sur ma tempe... Ca m'arrangerait du reste. Mais la liberté. La liberté m'emmerde. Je n'en fais rien.
Il m'arrive de dire: "Quand ça va, ça va. Quand ça va pas, ça va pas." Idiot?! Pas si sûr si je considère le nombre de personnes qui ne comprennent pas. Par exemple pourquoi je reste bloqué. "Va te promener... Ecoute un disque... Viens nous voir..." Autrement dit: "Réagis!" Mais justement, si je réagis, quand je réagis, c'est que ça va. Or justement ça ne va pas.
Je décroche très facilement. Je passe de l'autre côté du miroir à la faveur d'une simple réflexion. Au sens propre du terme c'est à dire d'un arrêt sur moi-même. Je ne participe plus au monde. Je deviens prisonnier. Enfermé. En général je m'isole. Du reste quelqu'un me voyant ainsi et constatant son impuissance finit par s'écarter. Je ressens la vacuité. L'angoisse qui naît, ne viendrait-elle pas de la solitude. Ni plus, ni moins.
Cet apragmatisme, je le vis depuis longtemps. Je ne suis pas sûr de vouloir tant m'en défaire que d'arriver à en tirer quelque chose. Mais peut-être est-ce par définition impossible.